Extrait Archéologia

52 / ARCHÉOLOGIA N° 601 À Toulon, en 1929, une sculpture d’Artémis remployée dans les remparts contemporains réapparut, mutilée et sans origine. Dès lors, cette réplique de l’Artémis d’Éphèse, statue de culte d’une des Sept Merveilles du monde, alimenta les discussions des chercheurs français sur sa provenance. Pour en suivre les traces, il faut traverser les mers avec les voyageurs qui explorèrent les richesses de la Grèce au XVIII e siècle. Par Djamila Fellague , maîtresse de conférences, université de Grenoble Alpes, Luhcie, chercheuse associée ArAr et IRAA L’Artémis OUBLIÉE DE MILO Enquête Fragment de statue d’Artémis d’Éphèse. Toulon, centre archéologique du Var, marbre blanc translucide (marbre de Paros ?), environ 40 cm de haut, I er siècle de notre ère (?). © D. Fellague

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