Extrait

5 Henri Pollès préface au catalogue de l’exposition Mathurin Méheut à Rennes (1961) ort comme vivant, Méheut est un peu de notre conscience bretonne, de notre honte de n’être pas assez profondément lucidement bretons... Il n’y a pas un mouvement de la Bretagne vivante qui n’ait agité ce cœur, pas une forme bretonne qu’il n’ait transposée dans l’univers plus durable de l’art [...]. Mathurin Méheut, chroniqueur génial, a créé et recréé son sujet comme ne l’avait jamais réussi avant lui aucun grand peintre ; aucun peintre comme ce réaliste absolu qui est vraiment le contraire d’un peintre onirique, n’approche de sa puissance pour faire rêver de la Bretagne. M

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