Extrait Virgule

c our r ier Cher Virgule, Je voudrais adresser à Alice mes plus vives félicitations pour sa nouvelle fantastique dont le début, publié dans votre numéro 196, m’a tenue en haleine. La cérémonie d’inauguration de la cathédrale Notre-Dame y est admirablement décrite avec force détails et Julien Benoît me semble être un personnage complexe et attachant. J’adorerais lire la suite de ce captivant récit et je vous prie de le publier dans l’un de vos prochains magazines. Veuillez accepter mes salutations distinguées, Eirene ” ” Cher Virgule, Depuis que j’ai découvert Virgule au C.D.I. de mon collège, j’ai dévoré tous les numéros et je suis aujourd’hui abonnée. Votre parution sur Baudelaire m’a captivée car je venais juste de lire Les Fleurs du Mal . Dans ce recueil, je trouve sublime le poème L’Homme et la Mer . Étant passionnée depuis toute petite par l’océan, je joins à ce message un poème sur ce thème. Peut-être trouvera-t-il une petite place dans « le courrier des lecteurs » de votre prochain numéro ? Merci beaucoup à toute l’équipe, pour toutes les magnifiques choses que vous m’avez fait découvrir sur la littérature ! Félicitations pour votre mise en page, toujours colorée et bien illustrée, qui me donne beaucoup de plaisir à lire les articles ! Bien cordialemen t, Rose, 13 ans Océan|: Vaste étendue d’eau salée couvrant une grande partie du globe. MM. les lexicographes, vous vous méprenez. Comment pouvez-vous définir si simplement Ce monde parallèle aux multiples secrets Dont l’enivrant murmure rime avec liberté. Étincelant le jour et illuné la nuit, Écrivant, dans nos esprits, mille et un récits De l’albatros à la gigantesque baleine Envoûtés par les voix sublimes des sirènes Puissance versatile aux fougueuses marées Nul tyran ne peut contraindre ce territoire Qui j’ose espérer ne se verra plus parer D’une triste robe de déchets ou d’or noir. Oui, MM. les lexicographes, vous vous trompez. Excusez-moi, je ne trouve pas ça admirable, Comment pouvez-vous décrire sous forme si aisée Quelque chose d’aussi… INDÉFINISSABLE. Chère Rose, je te remercie de ton courrier et de ton poème, que je suis heureux de publier ici. Cher Virgule, Je t’écris bien sûr pour te dire que j’adore ton magazine, que je lis toujours avec plaisir et intérêt. Mais surtout parce que grâce à toi, j’ai découvert le mot « infundibuliforme » (le mot de la rubrique SPM du numéro 191 sur la tour Eiffel), que j’ai même utilisé dans ma rédaction du brevet ! Il fallait « écri[re] un texte poétique dans lequel [on donnait] la parole à un élément de la nature qui [exprimait] sa liberté et sa beauté ». J’ai choisi l’eau d’un ruisseau. Voilà un extrait de ce que j’ai écrit : « Je voyage insouciant entre monts et vaux. […] Lorsque, curieux, je passe par Paris, j’aperçois au loin une structure infundibuliforme. C’est la Dame de fer qui accueille ses premiers visiteurs. » Merci encore pour la qualité de ton magazine et tout le travail de ta rédaction ! Sophia UN POÈME ? UNE QUESTION ? UNE IDÉE ? UNE REMARQUE ? Écrivez-nous vite ! Virgule, Éditions Faton, 25 rue Berbisey, 21000Dijon ou redaction@virgule-mag.com ” ” ” ” Bravo Sophia|! Ce mot n’était vraiment pas facile à employer. Félicitations pour ton brevet et bonne entrée au lycée|! to LE POÈME DE ROSE Comme nous n’avons pas la place de publier la nouvelle complète dans nos pages, tu la retrouveras sur notre site internet à cette adresse|: www.virgule-mag.com/pages/ Nouvelle_Alice.pdf Bonne lecture, Eirene|! ” ” se e u

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