Extrait COSINUS n°231

17 Cosinus 231 L e circuit de la peur Lorsqu’un événement se produit et que nous -"/ "3,+0 2+ *"00 $" &!"+1&Ɯć ,**" 2+" menace, le signal se transmet directement à une partie du cerveau nommée amygdale . Sans même analyser la nature du problème, l’ordre est donné de réagir physiologiquement face à ce qui est perçu comme un danger. " -/"*&"/ /ćƝ"5" "01 0,23"+1 )ȉ&**, &)&0 1&,+ǽ Dans un second temps, le même message est analysé par d’autres parties du cerveau, le cortex et l’ hippocampe . La situation est alors décryptée -,2/ ,+Ɯ/*"/ ,2 +,+ )" ! +$"/ &**&+"+1Ǿ "+ apportant des informations sur le contexte. Si ce que vous aviez pris pour un serpent n’est en fait qu’une herbe qui bouge au vent, l’alarme cesse de retentir ! Par contre, si vous distinguez nettement la tête d’une vipère dans les hautes herbes, vous prendrez la fuite… YEUX Dilatation de la pupille QUAND NOTRE CORPS A PEUR OREILLES Perte d’audition BOUCHE Salive moins importante COEUR Accélération des battements POILS Chair de poule ESTOMAC Digestion ralentie GLANDES SUDORIPARES Sueur intense VESSIE Relaxation L’adrénaline, une hormone sécrétée par les glandes surrénales sur ordre de l’amygdale, est à l’origine des principaux effets physiologiques de la peur. Elle permet notamment d’effectuer un effort physique plus important. © esalienko / Adobe Stock © designua / Adobe Stock

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